sous le joug de mon père/ poursuite fortuite
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sous le joug de mon père/ poursuite fortuite
Message par Sali » 16 févr. 2023 16:05
Rebonjour, je vais poster les deux derniers rêves ici car je pense qu'ils ont un lien entre eux
13/02 :
Sous ma forme d'enfant, je suis enfermé dans une maison avec d'autres enfants sous le joug de mon père. Il fait nuit et sombre comme d'habitude. On subit une éducation stricte à coups de fouet, ceinture et douche froide. On aurait dit qu'on subissait un entraînement militaire.
Plus on subissait d'épreuves et plus on se remettait à Dieu. Et un jour (oui, parfois plusieurs jours se passent en quelques instants) mon père nous informe qu'on va avoir une des plus dure épreuves aujourd'hui. En ouvrant nos casiers, on remarque qu'on a tous un qamis (c'est un vêtement traditionnel ou religieux que les musulmans portent). Mais mon père arrive dans les vestiaires à ce moment-là en disant "je ne vous empêche pas de croire mais gardez ça dans votre cœur". Et il prend tous les qamis pour les jeter. Il est désormais très en colère. Il nous dit qu'il va augmenter la punition et l'épreuve et qu'on est pas prêt à ce qui va nous arriver. Il reste dans les vestiaires pour nous mettre la pression pour qu'on s'habille. Puis il nous conduit jusqu'à la salle où il nous dit de l'attendre là. Dès qu'il part, j'en profite pour fuguer. Je passe par une trappe lorsque je vois mon petit-frère à côté de moi "Lui aussi il cherche la liberté, me dis-je intérieurement". Je m'envole dans les airs en regardant cette prison. Puis la curiosité prend place. Je me demande quelle sorte d'épreuves il comptait nous faire faire. Je retourne donc discrètement dans la cour quand soudain mon père apparaît en disant "Te voilà toi". Il m'attrape par les bras. Le niveau de stress est tellement élevé que je me réveille.
16/02 :
Sous ma forme actuelle d'adulte, je vais dans un magasin pour acheter un canapé avec ma grande sœur. On remarque tout de suite un canapé original : une surface de verre à l'endroit où poser ses fesses. Et bien sûr aucun pilier en-dessous du verre pour qu'il supporte le poids. On rigole tous les deux en disant que c'est impossible qu'on prenne ça. On regarde les autres canapés et rien ne nous intéresse. On monte ensuite à l'étage où on retrouve nos parents et mes sœurs. Mes parents sont très en colère. Ils nous ont réunis ici pour une raison que j'ignore. Moi, je suis très à l'aise sur le canapé. Je suis assis sur le dossier en les écoutant vaguement, jusqu'à ce qu'un petit chimpanzé vient ouvrir la porte et dévisser les vis. Moi et mes sœurs regardons la scène sans rien dire, jusqu'à ce que je fasse la remarque :
-Ah il y a un chimpanzé qui ouvre la porte.
-Je pensais que vous allez en profiter pour vous enfuir, dis ma mère. C'est moi qui a mis ce chimpanzé comme épreuve
-Je ne vois pas l'intérêt (de m'enfuir ou de m'enfuir devant leurs yeux, je ne sais plus)
Et en disant ces mots je me balance d'avant en arrière et d'un coup je trébuche et tombe dans la fenêtre derrière moi. Je ne m'y attendais pas. Je tombe sur une tente puis par terre. Il fait jour et super beau dehors. Mon père regarde par la fenêtre et est surpris que j'ai réussi à m'enfuir. En rigolant de ce qu'il va arriver, je cours en sautant sur un camion avant de plonger dans un long lac. Mon père arrive en voiture mais je nage tellement vite qu'il est obligé de faire le tour du lac. Finalement je sors en étant tout sec et cours le long d'une rue avant de tourner à droite et de rentrer dans une station de métro. Je vois des policiers qui contrôlent les personnes qui entrent. Mais je passe sans qu'ils ne me voient. Puis j'arrive au fameux métro. Une sorte de bateau-avion assez moderne déjà rempli par des gens.
Je sors de la station et marche sur un parking. Là encore un métro original. Des voitures avec des coffres très larges où les gens s'assoient derrière à même le sol. Ils ont l'air très pauvre. Soudain, un groupe de filles arrive en suppliant d'avoir une place. Tout le monde les ignore lorsqu'un enfant sort et cède sa place. Une d'elle rentre et s'assied en abandonnant ses amies.
Je continue ma marche et tente de trouver un endroit où dormir cette nuit. Soudain, j'aperçois la voiture de mon père. Je cours vers une maison privée. La porte est fermée et juste derrière il y a un grillage. Mais pas de soucis, je réduis ma taille à celle d'une fourmi et je me transforme en substance visqueuse pour passer en dessous. Puis je retrouve ma forme normale. J'explore les lieux et ouvre une chambre au hasard. Deux hommes de couleur sont là. L'un d'eux descend de son lit et vient me voir en me demandant ce que je veux. Je ne réponds pas et ferme la porte. J'ouvre une autre porte et je vois la même chose. Je décide de partir de là. Dehors je vais au marché lorsque je me refais poursuivre par quelqu'un. Je cours alors dans un magasin fermé et m'enfuis par l'arrière. (je me rappelle plus de la suite).
Après un certain temps, je me retrouve avec trois personnes dont une enfant. On marche sur un site en ruines en direction du sommet de la montagne. On discute tous les trois lorsque la petite fille s'énerve, saute dans un trou et soulève un immense rocher sous mes pieds. Je descends du rocher tranquillement et la demande de se calmer. Puis elle me dit qu'elle veut jouer avec moi au lancer de pierres. Moi et les deux filles en haut et elle en bas, elle prend des pierres et les lance sur moi. Je les esquive facilement. Et là, une pierre me frôle la tête par derrière. Je me retourne et voit que les pierres flottent dans l'air et qu'elles reviennent vers moi. Un peu agacé, je prends une pierre moi aussi et la lance sur elle avec une certaine force. Elle recule derrière un rocher en me disant de ne pas être violent. Les filles nous disent d'arrêter ce jeu et de continuer à marcher.
13/02 :
Sous ma forme d'enfant, je suis enfermé dans une maison avec d'autres enfants sous le joug de mon père. Il fait nuit et sombre comme d'habitude. On subit une éducation stricte à coups de fouet, ceinture et douche froide. On aurait dit qu'on subissait un entraînement militaire.
Plus on subissait d'épreuves et plus on se remettait à Dieu. Et un jour (oui, parfois plusieurs jours se passent en quelques instants) mon père nous informe qu'on va avoir une des plus dure épreuves aujourd'hui. En ouvrant nos casiers, on remarque qu'on a tous un qamis (c'est un vêtement traditionnel ou religieux que les musulmans portent). Mais mon père arrive dans les vestiaires à ce moment-là en disant "je ne vous empêche pas de croire mais gardez ça dans votre cœur". Et il prend tous les qamis pour les jeter. Il est désormais très en colère. Il nous dit qu'il va augmenter la punition et l'épreuve et qu'on est pas prêt à ce qui va nous arriver. Il reste dans les vestiaires pour nous mettre la pression pour qu'on s'habille. Puis il nous conduit jusqu'à la salle où il nous dit de l'attendre là. Dès qu'il part, j'en profite pour fuguer. Je passe par une trappe lorsque je vois mon petit-frère à côté de moi "Lui aussi il cherche la liberté, me dis-je intérieurement". Je m'envole dans les airs en regardant cette prison. Puis la curiosité prend place. Je me demande quelle sorte d'épreuves il comptait nous faire faire. Je retourne donc discrètement dans la cour quand soudain mon père apparaît en disant "Te voilà toi". Il m'attrape par les bras. Le niveau de stress est tellement élevé que je me réveille.
16/02 :
Sous ma forme actuelle d'adulte, je vais dans un magasin pour acheter un canapé avec ma grande sœur. On remarque tout de suite un canapé original : une surface de verre à l'endroit où poser ses fesses. Et bien sûr aucun pilier en-dessous du verre pour qu'il supporte le poids. On rigole tous les deux en disant que c'est impossible qu'on prenne ça. On regarde les autres canapés et rien ne nous intéresse. On monte ensuite à l'étage où on retrouve nos parents et mes sœurs. Mes parents sont très en colère. Ils nous ont réunis ici pour une raison que j'ignore. Moi, je suis très à l'aise sur le canapé. Je suis assis sur le dossier en les écoutant vaguement, jusqu'à ce qu'un petit chimpanzé vient ouvrir la porte et dévisser les vis. Moi et mes sœurs regardons la scène sans rien dire, jusqu'à ce que je fasse la remarque :
-Ah il y a un chimpanzé qui ouvre la porte.
-Je pensais que vous allez en profiter pour vous enfuir, dis ma mère. C'est moi qui a mis ce chimpanzé comme épreuve
-Je ne vois pas l'intérêt (de m'enfuir ou de m'enfuir devant leurs yeux, je ne sais plus)
Et en disant ces mots je me balance d'avant en arrière et d'un coup je trébuche et tombe dans la fenêtre derrière moi. Je ne m'y attendais pas. Je tombe sur une tente puis par terre. Il fait jour et super beau dehors. Mon père regarde par la fenêtre et est surpris que j'ai réussi à m'enfuir. En rigolant de ce qu'il va arriver, je cours en sautant sur un camion avant de plonger dans un long lac. Mon père arrive en voiture mais je nage tellement vite qu'il est obligé de faire le tour du lac. Finalement je sors en étant tout sec et cours le long d'une rue avant de tourner à droite et de rentrer dans une station de métro. Je vois des policiers qui contrôlent les personnes qui entrent. Mais je passe sans qu'ils ne me voient. Puis j'arrive au fameux métro. Une sorte de bateau-avion assez moderne déjà rempli par des gens.
Je sors de la station et marche sur un parking. Là encore un métro original. Des voitures avec des coffres très larges où les gens s'assoient derrière à même le sol. Ils ont l'air très pauvre. Soudain, un groupe de filles arrive en suppliant d'avoir une place. Tout le monde les ignore lorsqu'un enfant sort et cède sa place. Une d'elle rentre et s'assied en abandonnant ses amies.
Je continue ma marche et tente de trouver un endroit où dormir cette nuit. Soudain, j'aperçois la voiture de mon père. Je cours vers une maison privée. La porte est fermée et juste derrière il y a un grillage. Mais pas de soucis, je réduis ma taille à celle d'une fourmi et je me transforme en substance visqueuse pour passer en dessous. Puis je retrouve ma forme normale. J'explore les lieux et ouvre une chambre au hasard. Deux hommes de couleur sont là. L'un d'eux descend de son lit et vient me voir en me demandant ce que je veux. Je ne réponds pas et ferme la porte. J'ouvre une autre porte et je vois la même chose. Je décide de partir de là. Dehors je vais au marché lorsque je me refais poursuivre par quelqu'un. Je cours alors dans un magasin fermé et m'enfuis par l'arrière. (je me rappelle plus de la suite).
Après un certain temps, je me retrouve avec trois personnes dont une enfant. On marche sur un site en ruines en direction du sommet de la montagne. On discute tous les trois lorsque la petite fille s'énerve, saute dans un trou et soulève un immense rocher sous mes pieds. Je descends du rocher tranquillement et la demande de se calmer. Puis elle me dit qu'elle veut jouer avec moi au lancer de pierres. Moi et les deux filles en haut et elle en bas, elle prend des pierres et les lance sur moi. Je les esquive facilement. Et là, une pierre me frôle la tête par derrière. Je me retourne et voit que les pierres flottent dans l'air et qu'elles reviennent vers moi. Un peu agacé, je prends une pierre moi aussi et la lance sur elle avec une certaine force. Elle recule derrière un rocher en me disant de ne pas être violent. Les filles nous disent d'arrêter ce jeu et de continuer à marcher.
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Re: sous le joug de mon père/ poursuite fortuite
Message par LFS » 21 févr. 2023 12:53
Bonjour
Ce n'est pas une éducation, c'est de la maltraitance. Et ce rêve est simplement apparu pour que vous en preniez conscience.
Rêve 2 : Le chimpanzé est venu vous libérer des "épreuves" parentales. Remarquez que dans ce rêve, votre mère est une collaboratrice de votre père.
Donc, chute, mais fenêtre, puis jour, puis extérieur etc.
Il y a nécessairement un souvenir qui devrait remonter à la surface prochainement.
LF
On subit une éducation stricte à coups de fouet, ceinture et douche froide.
Ce n'est pas une éducation, c'est de la maltraitance. Et ce rêve est simplement apparu pour que vous en preniez conscience.
Rêve 2 : Le chimpanzé est venu vous libérer des "épreuves" parentales. Remarquez que dans ce rêve, votre mère est une collaboratrice de votre père.
Donc, chute, mais fenêtre, puis jour, puis extérieur etc.
Encore la tête ?Et là, une pierre me frôle la tête par derrière.
Il y a nécessairement un souvenir qui devrait remonter à la surface prochainement.
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Re: sous le joug de mon père/ poursuite fortuite
Message par Sali » 04 mars 2023 11:21
Ah oui j'ai employé ce mot sans m'en rendre compte ahah, mais même en prenant conscience de ça, j'ai dû mal à voir ça comme de la maltraitance (envers moi pas envers les autres).
Merci au chimpanzé J'espère que ça sera un bon souvenir s'il y en a un. En tout cas je prends note de ce que vous me dites
Bonne journée LF et merci ^^
Merci au chimpanzé J'espère que ça sera un bon souvenir s'il y en a un. En tout cas je prends note de ce que vous me dites
Bonne journée LF et merci ^^
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Re: sous le joug de mon père/ poursuite fortuite
Message par LFS » 06 mars 2023 12:52
ha bon ? -> Définition de la maltraitance https://www.filsantejeunes.com/cest-quo ... tance-5509
La maltraitance est un phénomène universel qui touche toutes les sociétés et tous les milieux. C’est un abus de pouvoir d’une personne sur une autre, qui crée une relation de dépendance et de soumission (relation conjugale, prof / élève, personne valide / invalide, personne âgée, parents / enfant…).
En France :
la maltraitance sur mineur provoque 2 morts par jour
Définitions
La maltraitance peut se définir comme tout acte ou comportement physique ou verbal nuisant au bien-être, à l’épanouissement et au développement de la personne.
Maltraiter, c’est porter atteinte à la personne dans son identité, dans son intimité ou dans son corps. La maltraitance se caractérise par la répétition de violences qui ont lieu en général au sein de la famille.
La violence, contrairement à la maltraitance, peut être un acte isolé et unique, qui surgit entre des personnes qui peuvent ne s’être jamais vues. Elle est définie par le Code Pénal comme des atteintes à l’intégrité physique ou psychique de la personne : à travers les mots, les coups ou la contrainte.
Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. On peut le trouver au sein de l’école. Lorsqu’un élève est insulté, menacé, battu, bousculé ou reçoit des messages injurieux à répétition, on parle de harcèlement scolaire. C’est souvent provoqué par l’effet de groupe. Le harcèlement se fonde sur le rejet de la différence et sur la stigmatisation.
Maltraitance d’un enfant : lorsqu’un adulte met en péril la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant mineur, il se soustrait à ses obligations légales. Un enfant maltraité est un enfant victime de négligences graves, de mauvais traitements, d’exploitation ou de violences sexuelles, de la part de ses parents ou des personnes qui en ont la charge.
Les différentes formes de maltraitances sur l’enfant
la maltraitance physique, qui porte atteinte au corps comme des coups, des brûlures, des fractures etc.…
la maltraitance psychologique, est plus difficile à repérer ; elle consiste à perturber l’état psychologique de l’enfant par des comportements répétés qui le terrorisent, l’humilient, l’offensent ou le surmènent : par exemple, en lui donnant l’impression d’être rejeté, en lui faisant des remarques dévalorisantes, du chantage (comme de le menacer à répétition de se suicider ou de l’abandonner) ou en le privant dans ses besoins fondamentaux.
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