Bonjour, et merci d'avance.
J'ai fais ce rêve il y a 3 jours, je vous l'avais envoyé en privé.
Je suis avec mon mari, nous sommes sur une plage, mais en hauteur, des gens se baignent, sautent dans l'eau, qui est sale et épaisse, on dirait que l'eau et le sable ne font qu'un.. quand les gens sautent, ils nagent un peu et disparaissent ,mais personne n'as peur .Je les regarde et je m'étonne qu'ils continuent a plonger et à s'amuser. Je réalise que notre voiture bouge et peux s'enfoncer dans le sable, on nous aide à la bouger, mais c'est difficile .Ma fille est là et son pied se prends sous la roue, je demande d'attendre que je la libère au même moment, une vague énorme de cette masse grise eau et sable va s'abattre sur nous, je me blotti sur ma fille pour la protéger, je ferme les yeux trés fort. La vague est passé, il n'y a pas de dégât, et on doit sortir la voiture...Mais il est 10 h du mat, mon mari viens me réveillé, et je n'ai pas pu finir mon rêve.
merci bonne soirée
Bonsoir,
Je précise pour le lecteur de passage qu'il s'agit de votre premier post.
L'eau et le sable sont des symboles de l'inconscient. Le rêve vous permet en quelque sorte de prendre contact avec votre inconscient.
Mais , l'eau étant sale et épaisse, elle fait référence à des traumas passés , les gens ne sont que des parties de votre personnalité qui font office de modèles ppour vous afin que vous osiez regarder davantage votre vécu en profondeur.
Votre fille (l'avenir) est bloquée momentanément par la roue. Cela peut représenter un blocage en vous qui perdure depuis l'enfance.
Au final, et je m'appuie sur les Anciens qui disent ce qui va suivre, comme vous avez échappé à un lieu sordide et à un événement pénible (la vague qui allait s'abatte sur vous) , et que vous sortez de la voiture, vous saurez faire face à cette prise de contact avec votre inconscient. Il ne vous reste qu'à Oser.
Ps : la fin d'un rêve ou d'un songe est marquée par le réveil, qui ne vient jamais au hasard. Vous n'avez pas à vous sentir frustrée d'une hypothétique "fin" qui n'aurait pas eu lieu, car la fin est la fin.
LF